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mercredi 29 octobre 2008

LE MASSACRE














Voici quelques scènes de massacres de cétacé, dont j'espère, celles-ci cesseront un jour.

Partout, dans le monde, les dauphins et les marsouins sont traditionnellement chassés pour leur chair et leur lard.
Les Inuits harponnent bélouga et narval, dont ils consomment la viande, la graisse et la peau.
Les Aïnous du Japon tuent des cétacés de toutes tailles avec des harpons qu'ils empoisonnent.
Les indigènes des îles de la Reine-Charlotte et de Vancouver s'en prennent aux orques, dont ils aiment l'agonie lors de danse magiques.
Le massacre du globicéphale noir fait partie des traditions. Ces dauphins qui hurlent, coincés par des filets dans un port et que la population saigne à la lance. Ce peuple ferait mieux d'oublier cette stupide et horrible tradition.
Les japonnais , taïwannais, coréens, indonésiens etc... n'ont toujours pas renoncé à traquer certaines espèces de cétacés pour la viande.

Quant aux pollutions, qui font aussi parties des massacres, mais bien sûr, moins violentes.
Tout finit à la mer : nos pollutions agricoles, industrielles ou domestiques ; quelles soient insidieuses comme le plomb de nos automobiles ou les oestrogènes de nos élevages aux hormones ; ou brutales comme les marées noires.
Les métaux lourds : mercure, plomb, chrome etc... sont toxiques. Leur capacité de nuire dépend de leur pouvoir morbide et du temps qu'ils mettent à être éliminés par l'organisme.
Certains ont une période égal ou supérieure à l'espérance de vie de l'animal.
Pendant une étude sur les saumons un bateau entend un coup de fusil au loin. Des plongeurs découvrent une preuve du délire de puissance de notre espèce : un filet de pêche : un filet dérivant long de plus de 10 kilomètres et haut de 40 mètres avec des dauphins pris au piège.
L'une de ces " murailles de la mort" que nous tendons partout dans les mers et qui constituent désormais une cause essentielle de la mortalité. Les filets dérivants dont la taille n'a cessé de croître. De quelques centaines de mètres ils sont passés à des kilomètres.
On les mouilles dans la soirée. Ils dérivent et pêchant pendant la nuit. On le relève le matin. Attrape-tout fatal.
Certains coupent les nageoirs des dauphins encore vivant pour ne pas abîmé leur filet, et, pour effacer toute trace, éventre les cétacés, les lestes de pierres afin que les cadavres ne remontent pas à la surface.

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